Ici, pas de gratte-ciel ni de parasols.

Juste le murmure du vent dans les branches et les pas feutrés de chevaux en liberté.

Sur la côte sud-est des États-Unis, l’île de Cumberland cache l’une des dernières grandes forêts maritimes du pays.

Une jungle de chênes tordus, de palmettes entremêlées et de mousse suspendue, comme figée dans le temps.