Cette année, les cigognes n’ont pas attendu le printemps.

Dès janvier, plusieurs couples ont été aperçus dans les campagnes françaises, bien avant leur retour habituel.

Un signe des changements qui affectent leurs rythmes migratoires, probablement liés aux hivers plus doux.

Mais ce qui ne change pas, c’est leur incroyable fidélité : chaque année, elles retrouvent le même nid, parfois occupé par plusieurs générations.

Certains de ces nids, perchés sur des toits ou des pylônes, atteignent plus de deux mètres de haut et pèsent plus de 500 kilos.